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Crémines figure à l'inventaire des sites construits à protéger en Suisse : ==> lien


L’étymologie de "Crémines" vient probablement de "creux des mines". La première mention connue remonte à 1179 où Crémines est cité au nombre des possessions du prieuré de Moutier-Grandval.


La première mention écrite de Crémines date de 1461 qui s'appelait à l'époque Crimene.


En constante évolution, le village comptait 252 habitants en 1755, 297 en 1850, 383 en 1900, 497 en 1950 et 577 en 2000. On y a retrouvé des sépultures du haut Moyen Age dans la région des Vaivres.


Jusqu’à la fin du XVIIIe siècle, Crémines dépendait de la Prévôté de Moutier-Grandval.


Le pré de Sale fut lieu de duel pour l'ensemble de la prévôté de Moutier-Grandval.

De 1797 à 1815, Crémines a fait partie de la France, au sein du département du Mont-Terrible, puis, à partir de 1800, du département du Haut-Rhin, auquel le département du Mont-Terrible fut rattaché. Par décision du congrès de Vienne, le territoire de l’ancien évêché de Bâle fut attribué au canton de Berne, en 1815.


Commune mixte depuis 1853, Crémines à toujours relevé de la paroisse de Grandval, réformée depuis 1531. Une chapelle catholique fut consacrée en 1935 (paroisse de Moutier).


Jusqu'en 1900 environ, Crémines a conservé une structure agricole avec un peu d'artisanat à domicile (horlogerie, poterie, arquebuses). La construction de la ligne de chemin de fer Moutier-Soleure (1904-1908) et l'essor de la machine-outil à Moutier (dès 1880) ont favorisé l'implantation du décolletage. Le secteur secondaire s'est diversifié.


Une coopération intercommunale est active depuis 1967 (réseau d'eau du Raimeux, épuration des eaux, école primaire).